L’enfant trouvée de Concarneau

DÉDICACE : 
« A ma maman, décédée deux mois avant la parution de ce livre. Elle est à la genèse de ce « bébé », conçu dans une chambre stérile du service hématologie de l’hôpital Morvan à Brest, lors d’une e-relation, qui contrairement au secteur, n’était pas  » protégée ». Oui, malgré son âge elle était une femme éminemment moderne. Comme disait Christophe, un de ses petit- fils, elle était une femme « connectée ». A 92 ans elle utilisait la technologie tous les jours, skypait et m’a tenu la main virtuellement, quotidiennement avec e- mailitude » durant six mois. Très grande lectrice, elle perçu après une « lectographie » approfondie, que dans mes courriels il y avait un embryon de roman. Je lui dédie cet « enfant posthume ».

REMERCIEMENTS :
Je souhaite adresser mes premiers remerciements à l’ensemble du personnel soignant d’hématologie de l’hôpital Morvan de Brest et du CHU de Nantes pour son dévouement, son empathie et sa compétence. Sans lui je n’aurai pas pu finir ce roman. Je remercie bien évidemment ma maman, ma première lectrice…


Extrait chapitre 15

— Nous avons tous différents visages, différentes zones ; Notre zone « publique » connue de nous-même et des autres : elle révèle qui nous sommes au grand jour, indiquant l’image que nous donnons à voir et celle que les autres ont de nous. Notre zone  » cachée  » connue seulement de nous : Tout ce que nous savons sur nous que nous contrôlons et maîtrisons afin que les autres ne voient pas ces traits de notre personnalité. Il s’agit de nos secrets, nos désirs mais aussi nos faiblesses, de nos craintes…
— Je suis vraiment impatient de découvrir ta zone cachée.
— Désolée mais je la garde pour moi. C’est mon jardin secret.
— Il me semble parfois l’entrevoir.
— Nous avons aussi notre zone  » aveugle « , connue des autres mais pas de nous : Ce que les autres voient et savent de nous mais que nous ignorons ! Ce que l’on pourrait appeler notre côté obscur !
— Je ne vois pas ce que tu veux dire exactement.
— Par exemple ce sont tes manies, tes lapsus, et plus généralement les sentiments qu’on les autres à ton égard, qu’il s’agisse de rumeurs ou de faits objectifs.
— Quels sont tes côtés obscurs et en as-tu ? demanda-t-il en souriant malicieusement.
— Oui bien sûr que j’en ai mais je ne les connais pas ou alors très mal. C’est à toi de me les révéler. Zut ! Prends des notes et fais attention à ce que je te dis. ….

Extrait Chapitre 2

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